Playboy fête l’année du lapin...
Suivant le calendrier chinois, 2023 est l'année du lapin...
Les logos et autres tee-shirts à l'effigie de ce sympathique animal sont donc nombreux...
Et il est évidemment une marque qui se devait de célébrer dignement cette nouvelle année...
En Thaïlande, Playboy est désormais connu en tant que marque de mode (vêtements, sacs, accessoires, parfum,...).
Plusieurs boutiques affichent cette enseigne dans les grands centres commerciaux de Thaïlande. >>>>
Son logo, le célèbre "bunny", <<<<
est très répandu parmi les produits contrefaits
(voir cet article).
Le saviez-vous ?
Une édition papier de Playboy Thailand a existé pendant 8 ans, le dernier numéro paru est daté de décembre 2020).
Elle fut lancée en 2012, sous licence, par une maison d’édition thaïlandaise (sans relation avec la maison-mère américaine).
Compte tenu de la législation thaïlandaise, ce magazine a certes publié de nombreuses photos "sexy" mais sans jamais montrer de nudité explicite....
- "couvrez ce sein que je ne saurais voir" -
"Wan Trout Chin" - Le Nouvel An Chinois 2023
Cette année, le Nouvel An Chinois
(en thaï : วันตรุษจีน , prononcez "wan trout chin")
est fixé au 22 janvier.
Nous entrerons dans l'année du lapin.
Les festivités seront nombreuses dans toutes les régions de Thaïlande.
Ce sera aussi évidemment le cas à Pattaya (entre autres, les centres commerciaux Central Beach et Terminal 21 annoncent spectacles et animations diverses pour ce weekend).
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L’astrologie chinoise associe chaque année à un animal, le même animal revient tous les douze ans.
Au signe animal est adjoint l’un des 5 éléments (Eau, Bois, Feu, Terre, Métal) en fonction du dernier chiffre de l’année en question.
Pour en savoir plus sur le calendrier chinois et les animaux associés à son astrologie, voir cet article (de 2018) :
Le "mann on" - Fruits et légumes de saison (23-02)
En thaï, le nom de ce petit tubercule est : มันอ้อน prononcez "mann on".
Il est de la famille des ignames (plus de 600 variétés sont répertoriés) mais, à ma connaissance, n’a pas de nom spécifique en français.
Dans les campagnes siamoises, il faisait partie de l’alimentation traditionnelle bien avant l’introduction des pommes de terre et patates douces.
Il se cuit en bouillon et après épluchage, il peut être consommé tel quel, sa consistance et son goût se rapprochent du taro ou de la patate douce.
Aujourd’hui, il est plus souvent utilisé dans des desserts agrémentés de lait de coco.